Le groupe CEMOI devient mécène de la Fondation UPVD

Perpignan, le 10 avril 2015Le groupe CEMOI et l’université de Perpignan Via Domitia annoncent l’engagement du groupe CEMOI au sein de la Fondation UPVD et la naissance d’un projet de recherche, en collaboration avec l’un des 16 laboratoires de l’UPVD, le CRIOBE.

Une implication locale forte

Ancré dans les Pyrénées-Orientales depuis le 19ème siècle, le groupe CEMOI a démontré à ce jour un attachement profond à la région.

L’université de Perpignan est un pôle d’enseignement supérieur et de recherche pluridisciplinaire dont l’excellence est reconnue sur le plan international. C’est donc naturellement que le groupe CEMOI s’est tourné vers ses savoir-faire et compétences. L’université de Perpignan, notamment par l’intermédiaire de la Fondation UPVD, agit au quotidien afin de créer des liens forts et durables, avec l’ensemble des acteurs et partenaires socio-économiques du territoire.

Ayant comme objectif commun le développement économique du département, et un souhait de renforcer leur expertise sur des domaines de pointe, ces deux entités se sont réunies pour agir ensemble.

CÉMOI s’est engagé à prendre part dans le capital de la Fondation UPVD à hauteur de 40 000 € sur 4 ans et en devient donc membre fondateur.

Un investissement durable

Le groupe CEMOI est impliqué dans l’aide pour le développement et dans une démarche de durabilité. Dans cette optique, l’UPVD, à travers le laboratoire du CRIOBE (Centre de Recherche Insulaires et Observatoire de l’Environnement) et le Groupe CÉMOI lancent un projet de recherche commun autour du cacao. L’objectif du projet sera double :

  • Déterminer les marqueurs génomiques présents dans les fèves de cacao permettant de caractériser le profil aromatique ciblé par CEMOI
  • Valoriser les différentes biomasses (cabosses et coques) générées au cours de la transformation du cacao

Cet axe de recherche s’inscrit complètement dans la stratégie d’implication du groupe CEMOI dans la filière cacao.

« Les équipes industrielles et universitaires ont parfois du mal à se rencontrer, souligne Tristan Borne, DG du groupe Cémoi. J’ai été très surpris de voir comment l’université a changé, et de l’aspect beaucoup plus pragmatique et économique qu’elle peut avoir aujourd’hui ».