La Banque de demain !

A l’heure où le numérique change le visage de notre société mais aussi celui des relations commerciales, la Banque Populaire du Sud a souhaité prendre les devants et ne pas subir un mouvement mais plutôt d’en « faire une opportunité, l’opportunité de se rapprocher de sa clientèle, d’accroitre sa disponibilité et  créer la banque de demain ». François Cartier, directeur de la communication de la BPS, nous a reçu pour parler de son engagement auprès de l’Université et de sa Fondation.

une-fondation-pour-aider-les-initiatives-solidaires_305271_516x343François Cartier « C’est en échangeant avec nos interlocuteurs à l’université et sa fondation, qu’est venue l’idée de créer cette chaire. Il s’agit d’un prolongement de notre partenariat en tant que membre du Conseil de Gestion de la Fondation UPVD…Cette chaire numérique permettra de mieux répondre aux questions qui se posent à l’Entreprise dans sa relation client par la transformation numérique. Un des défis est de faire évoluer le mode de relation avec le client pour répondre aux nouvelles attentes, maintenir la proximité,, donner toujours plus de fluidité ! ». le périmètre d’investigation de la chaire concerne autant la relation client que l’organisation même de l’entreprise, sa politique RH

En quoi consiste concrètement cette chaire numérique ?

 

« Comme toute thèse, c’est un travail de recherche. Le sujet sera étudié, sur une période de trois ans, sous ses différents aspects. « 

Bertrand Mocquet, Vice-Président au numérique de l’UPVD et responsable de la chaire. « Il faut démystifier le numérique en cassant son image virtuelle trop éloignée de l’humain. Aujourd’hui le numérique est une norme sociétale. Il repose sur l’humain, sur les échanges, sur les habitudes relationnelles. Si l’on parle des tablettes en agences, cet objet conduit à repenser les métiers. L’outil n’est plus un frein mais un facilitateur de la relation client ». Michel Mannarini et Fabienne Villeseque, enseignants-chercheurs au sein du  Montpellier Research of Management, sont les acteurs qui encadrent ce travail sur trois années.

 
Un nouveau modèle de partenariat avec les acteurs économiques

« Nos partenaires nous disent : « J’ai une problématique ». À nous de travailler avec eux à la résoudre, explique Fabrice Lorente, Président de l’UPVD et de sa Fondation. Ce modèle de partenariat, avec un comité opérationnel, un thésard, des masters, on l’a pensé entre nous. Ça n’existait pas auparavant »