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Un véritable enjeu environnemental
L’agriculture intensive se caractérise par l’utilisation massive de pesticides qui, d’après toutes les études disponibles, nuisent sérieusement à notre planète et ses écosystèmes. Ces pesticides peuvent avoir des conséquences graves sur notre santé.
Le gouvernement a un objectif clair et ambitieux. Le projet de loi relatif à la transition énergétique pour la croissance verte pourrait aboutir à l’interdiction totale d’utiliser des produits phytosanitaires dans les espaces verts publics dès le 1er janvier 2017.
Les chercheurs de l’université de Perpignan proposent une solution saine et efficace.
La mise au point de techniques de protections intégrées des cultures et de produits naturels capables de remplacer efficacement les pesticides conventionnels. Cette démarche constitue un défi mondial. Partout dans le monde, l’agriculture a besoin d’aide pour palier l’utilisation des pesticides néfastes pour l’environnement.
L’agriculture durable est un axe de développement capital pour l’avenir de la société. Le soutien de la Fondation UPVD au projet biocontrôle permettra aux générations futures de vivre sainement.
Un défi mondial
La recherche portant sur les méthodes de conception et d’utilisation de ces produits et techniques respectueux de l’écosystème doit être soutenue pour aboutir rapidement a des concepts innovants de protection des cultures, ceci dans notre intérêt à tous.
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Le porteur du projet
Ce projet est porté par Cédric Bertrand, enseignant-chercheur de l’UPVD au Laboratoire de Centre de Recherche Insulaire et Observatoire de l’Environnement (USR 3278), impliqué depuis toujours dans l’étude de l’impact des pesticides et de la protection des cultures.
« L’agriculture durable est un projet capital pour l’avenir de notre société. Nous nous devons d’envisager l’avenir sous un angle plus écologique sous peine de ne laisser que peu de chance aux futures générations de s’épanouir. »
Mise en œuvre
La mise en œuvre de ce projet passe par le développement de protocoles et de techniques prophylactiques innovantes de protection des cultures, et de systèmes innovants permettant l’évaluation de l’impact environnemental des nouveaux produits de biocontrôle.
Ces approches innovantes relèvent des « omiques » et plus notamment de la métabolomique.
Montant total du projet : 120 000 € dont 30 000 € demandés à la Fondation UPVD
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